éditos
En Corée encore ?
C’est que le début, d’accord, d’accord. Sans Fransisca Brel, la sœur de Jacques, notre envoyé spécial en Corée, Yann K (K comme Korea) nous envoie une bien jolie missive. Il nous cause du film de guerre The Front Line – qui nous ferait revoir à la baisse Taegukgi -, de celui de monstre Sector 7 – susceptible de nous faire revoir à la hausse le Leviathan de Cosmatos – et de la courte coquetterie Night Fishing de PARK Chan-Wook, que pour le moment seul Ghost Dog défend…
Back-review anime 80’s, Chapitre I
Arno (c'est moi) se (me) replonge dans l’animation jap’ des années 80 avec une OAV qui surfa, tout comme l’Italie à l’époque, sur les baffes SF de James Cameron que furent Terminator et Aliens. Pardon ? Vous dites ? Il y en a eu un paquet en son temps ? Oui, en effet, mais comme celle-là reste signée Masamune Shirow et Hiroyuki Kitakubo, la donne n’est pas franchement la même…
Tatsumi : critique de la KHOOpie
Alors que l'adaptation/biopic animée Tatsumi, d'Eric KHOO, rendant hommage à la vie et l'oeuvre du gekigaka du même nom, ne devrait sortir dans nos salles qu'en janvier de l'année prochaine, Anton nous livre son avis après l'avoir découvert au dernier Festival International du Film d'Animation d'Annecy. Tastumi, ou comment un réalisateur singapourien venant du live s'attaque à un film d'animation sur l'une des figures les plus importantes de la bande dessinée japonaise. Un projet que les 2 hommes ont mené en bonne entente à défaut de l'avoir fait en KHOOp'...
Des trucs à lire pour l'été
Histoire de profiter au mieux de l'été, ressortons pour l'occasion quelques vieux dossiers et autres interviews pertinentes à consommer sans modération ! Dans le désordre : du Wilson Yip encore vierge de Donnie, du Bong Joon-Ho, du Teddy Chen pré Bodyguards & Assassins, de l'Innocence qui ne l'est pas tant que ça, du HHH sous toutes les coutures et même du Miike ! Y'en aura pour tous les goûts. Pour le reste : piochez dans la base, y'en a du matos !
Y’a-t-il un asiat’ dans l’ascenseur ?
Après avoir esquissé un portrait d’Anthony Wong à travers ses nombreuses paires de lunettes, Arno évoque cette fois une partie du cinéma asiatique à travers un autre objet, un chouillat plus encombrant : un ascenseur. Que de pertinence !