moyenne
3.01/5

jeffy	1.5	Dérapage non contrôlé
Flying Marmotte	3
Anel	3
Alain	3.75

Dérapage non contrôlé

Après un deuxième volet qui se défendait plutôt bien, celui-ci vient nous montrer les limites du système. A force de prendre les mêmes et de recommencer, on finit par tourner en rond et ne plus rien avoir à dire (encore que dans la série...), ni rien à montrer. Pourtant Andrew Lau allèche bien le spectateur au tout début, faisant miroiter un surcroît de violence avec l'entrée en scène d'un spécialiste de ce genre de rôle, l'incomparable Roy CHEUNG Yiu-Yeung. Seulement voilà, cela tourne vite court, on oublie bien vite les méthodes de ce clan revenu d'on ne sait où pour tomber dans les laborieuses, pénibles et ennuyeuses d'Ekin et de sa compagne enfin réveillée. Et là, au revoir le rythme, sortez les rames et que chacun fasse ce qu'il peut dans ce navire à la déroute. Le pauvre Roy Cheung se trouve relégué à quelques scènes disparates et dans une fuite en avant pour sauver ce qui peut l'être ne fait qu'accuser le ridicule de son personnage. Et la débâcle est générale, personne ne semblant croire à ce qu'il fait. Ceci dit au second degré, cela nous vaut quelques fous rires nerveux devant de telles interprétations. Bref à moins de voir ce film comme la caricature d'une caricature, si toute la série peut être regardée comme telle, il n'y aura aucun espoir à en attendre pour le spectateur.

visiteur	note
Toto456	5
steed	3
Secret Tears	3.75
Sébastien	2.75
neokturne	1.5
Manolo	2
Macareux moine de Bretagne	0
Kelly	3.5
Illitch Dillinger	3
Hots@uce	3.75
chronofixer	3
bow	4.5
Bastian Meiresonne	3
antigone	3.5

Bis, bis

Encore la même bande, on recommence, avec un conflit différent, et le public suit toujours, si tous les films pouvaient marcher autant en faisant la même salade, alors Young and dangerous perdrait son prix d'or de la série de films ayant cartonné avec "la même histoire".

3eme opus

Ici Andrew Lau nous presente le 3eme opus de la serie Y&D, c est vrai qui peut paretre repetitif si on a deja vu les 2 premiers, mais quand on aime on ne compte pas!