Formule universelle pour faire pleurer
Pas besoin d'être vraiment impressionnable pour pleurer devant ce film. La combinaison est totalement mathématique. Prenez quelques animaux qui vont sans doute mourir alors que ce sont les grands amis, voir les frères, du personnage principal, et vous avez déjà conquis tous les amis des bêtes, tous ceux qui ont eut un chien ou un chat qui est mort quand ils étaient enfants et qui sont marqués à vie par cette expérience (comme moi-même, bah ouais). Ensuite faites incarner l'héroïne par la craquante Im Su-Jeong, qui a fait pleuré des millions de gens dans les différents films et drama dans lesquels elle a joué, sans doute grâce à son grand talent (si quand même, il suffit de voir ...ing). Enfin mettez une petite musique bien tristement composée au dessus des scènes cruciales, et le potentiel lacrymal du film est le carré de la somme des coefficient tristounets des variables sus-citées. D'un point de vu totalement objectif, le scénario est prévisible à mort ; c'est d'ailleurs le cas de le dire. Sans aller dans le spoiler, pas besoin d'être scénariste hollywoodien pour deviner la fin avant qu'elle arrive, ainsi que toutes les étapes du film. La mise en scène est académiquement nickel, un peu comme n'importe quelle production mélodramatique coréenne de base. Des fois, ça avait l'air un peu flou, mais ça devait être les larmes. Parce que quand même, c'est vachement triste mince. Le cheval joue tellement bien.
18 décembre 2006
par
Elise