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moyenne
3.75/5
Love Hina
les avis de Cinemasie
5 critiques: 3.8/5
vos avis
10 critiques: 4.33/5
Il ne faut pas abuser des bonnes choses (sauf de Tama)
Ayé le 14ème tome est sorti et il était grand temps que cette histoire touche à sa fin. LE manga à succès d'Akamatsu déjà décliné en série, OAV, roman et autres éléments de merchandising divers et variés peut enfin regagner le fond de mes étagères.
Pourtant, elle démarrait très bien cette comédie romantico-comique pour garçons avec sa flopée de personnages hauts en couleur. Enfin, surtout les filles parce que le rôle de Keitaro est quand même censé cibler le jeune Japonais un peu brêle en amour, rêvant sans doute de se retrouver au beau milieu d'un harem de petites amies potentielles. Et c'est surtout tellement plus drôle et musclé que les interminables histoires à l'eau de rose de Katsura. Que de franches rigolades à voir Keitaro voler vers l'infini et au-delà à la suite d'un coup de poing rotatif de Naru, que de situations cocasses et complètement inimaginables, que de détails qui font sourire cachés dans le décor. En plus la trame de l'histoire est bien fichue et on ne cessera d'encourager notre petit couple dans leur volonté d'entrer à Todai ensemble. Sauf qu'aux alentours du tome 9, il y a comme qui dirait un début de ras-le-bol. L'histoire commence à s'enliser franchement. L'auteur ne sait plus quoi inventer pour que l'intrigue rebondisse le plus longtemps possible, si bien que ce tout et n'importe quoi devient vite lassant. Les cinq derniers tomes demandent plus du courage qu'autre chose pour être lus et c'est bien dommage. Ça gâche franchement la si bonne impression qu'avait laissée le manga jusqu'alors.
Par contre, la chose qu'on ne pourra pas reprocher à Akamatsu, c'est son dessin soigné et une parfaite maîtrise de son chara-design. L'auteur se permet même de leur faire prendre un coup de vieux particulièrement réussi dans le dernier tome. Les décors sont bien loin de n'être que des arrière-plans. D'ailleurs, qui ne voudrait pas passer un petit week-end dans la pension Hinata tellement elle a l'air sympathique ? Alors, bien sûr, on pourrait facilement dire qu'Akamatsu, avec sa forte attirance pour les petites culottes (quand les filles sont habillées tout du moins) et les grosses poitrines, joue la carte du racolage facile (Fanservice, es-tu là ?), mais il faut avouer que c'est souvent présenté avec beaucoup d'humour et jamais tout à fait gratuit. Double plaisir pour le lecteur donc. Tout du moins au début puisque, comme pour le reste, la politique de la surenchère sévit au bout d'un moment dans le seul but de garder le lecteur tout coalgan dans le nez, mais sans doute moins amusé.
Finalement, ça n'a pas eu l'air de gêner la gent masculine alentour, public cible à l'origine. Pour ma part, je trouve que trop c'est trop et que malgré un succès évident, les éditeurs japonais feraient bien se retenir d'user certaines histoires jusqu'à la corde. Chose rare, la série TV s'en sort du coup bien mieux que la version papier.
Un vent rafraîchissant
A la pension Hinata, les conflits quotidiens ont des proportions remarquables. Centré sur les relations entre le manager débutant et ses pensionnaires diverses, ce manga explore les attitudes d'attirance-répulsion entre ces jeunes gens. Seulement, à la différence d'un shônen traditionnel, on verse dans la comédie non-sensique. On se laisse donc porter sur la douce invraisemblance des situations, et surtout par la formidable capcité de résistance aux coups de Keitaro.
Profitant d'un fil conducteur bien établi (l'entrée à l'université pour retrouver sa promise), l'histoire peut se permettre de marauder pour découvrir la palette des personnages secondaires. Une des richesses de ces histoires se situe en effet dans le nombre des protagonistes permanents, et des liens qui se tissent ou qui ont été tissés entre eux. A travers des passages légers, on trouve donc une vraie évolution des relations, qui constitue le cœur narratif et joue sur la corde sensible de nos émotions. Ceci sans renoncer à des délires visuels et parfois un humour bien potache.
Au niveau du dessin, celui-ci est très agréable avec un très bon équilibre avant/arrière plan. Celui-ci est loin du style réaliste et retranscrit à merveille les expressions des protagonistes.
Au final, une très bonne série pour se détendre, bien équilibrée entre l'humour et le plus sérieux, les digressions et la progression dans l'histoire.
Amours d'étudiants et gags en tout genre pour un manga ultra dynamique !
Une vrai réussite pour un manga dynamique qui peu amener un peu de bonne humeur et de fraîcheur à votre journée !
La recette du succès ? Un habille mélange de tout ce qui a fait le succès de quelques grands classiques. Une touche de Maison Ikkoku pour le fond de l'intrigue (un étudiant "raté" qui essaye pour la énième année consécutive de rejoindre une université et une petite histoire d'amour dans le loft…), un brin de Katsura (pour les maladresses qui conduisent immanquablement nos héroïnes à finir en petite tenue et le "malheureux" Keitarou à contempler toute la scène, les "cadrages", "câlins" involontaires… et la petite histoire d'amour naissante entre un looser et une beauté !), une petite touche de City Hunter pour les châtiments divers et variés que doit subir le pauvre Ronin des études après les innombrables bourdes qui lui auront valu de mécontenter les lady (il manque à peine la massue, habillement remplacée par toute sorte d'objets contendants et parfois des poids indiquant le sempiternel "5 tonnes"…) et enfin une bonne dose d'humour reposant principalement sur quiproquos ou maladresses diverses… Pas étonnant qu'avec tout cela on obtienne un manga sur vitaminé, alternant petites histoires mignonnes à souhait et gags monumentaux.
Certes, comme souvent dans les manga, l'histoire finit par traîner en longueur et les avatars à s'amonceler un peu artificiellement… Et l'on se prend à rêver que Keitarou dévoile enfin sa flamme et intègre enfin l'université (pour ce dernier point il faudra quand même attendre 8 volumes, quant au premier…) ! L'ensemble ne s'essouffle malgré tout pas trop, au contraire, il sait tenir le lecteur en haleine. Comment ne pas s'attacher à ces persos si sympa et tellement humain finalement, malgré leurs aspects excessifs et caricaturaux ? Et comme souvent, on attend le dénouement avec impatience !
Pour ajouter à cette réussite, il faut préciser que l'auteur maîtrise tout autant son sujet au niveau technique. Dessin et découpage de grande qualité pour un manga qui alterne avec bonheur persos SD avec des dessins mignons à souhait et des visages extraordinairement doux, tendres et expressifs pour les scènes plus sentimentales… Un trait qui se fait alors plus léger et épuré pour donner une expression rare pour des personnages de BD.
Love Hina nous propose donc une histoire que Katsura n'aurait sans doute pas renié, avec une bonne dose d'humour en prime et un dessin de très bonne facture… A découvrir !
Du déjà vu, oui, mais du très bon...
Ca déménage comme dans Ranma 1/2, l'histoire de base est la même que celle de Juliette je t'aime et pourtant on ne s'en lasse pas. On pardonnera donc bien à l'auteur ce manque d'originalité en voyant le résultat. C'est vraisemblablement l'humour des situations compromettantes, dans lesquelles se fourre toujours Keitaro qui fait de cette série, un inévitable du genre. Quand en plus le coté dessin n'est pas négligé non plus, de quoi peut-on encore se plaindre ? Il faut bien avouer que les demoiselles sont plus que bien proportionnées et attirantes...
Anime et manga
Basés sur le même scénario, l'anime et le manga ne sont tout de même pas complètement identiques. Tant mieux, comme ça on peut lire et regarder les deux. Lequel est le meilleur ? L'histoire originale ou bien son adaptation télé ??? Pour ma part, le début de la série et la mise en place des personnages m'a plus plu que celle du manga. En revanche, la version papier est plus drôle et moins remplie de "Keitaro, l'étoile filante du Hinata Hin". :-) Dans les deux versions, un très bon moment de plaisir.
Mais où est cette pension Hinata?
Un des mangas les plus drôles que j'ai lu (pas très fin mais bon...) surtout grâce au loser né qu'est Keitaro. Le principe du gars qui habite avec pleins de fille et qui n'a jamais eu de succès auprés des filles n'est pas bien nouveau (Cf Ah! My Goddess (du moins les premiers tomes)) mais celui-ci se démarque assez de ce dernier en étant un peu plus coquin... La pauvre Naru se retrouve souvent dans des positions assez inconfortables.
Bref, romance, humour et petite culotte sont au programme de ce Love Hina.
Love Hina j'adore
J'ai découvert Love Hina par un de mes amis, et depuis je le dévore !
Je n'ai malheureusement vu les anime que jusqu'à l'épisode 14, mais je suis devenu un fan ! C'est un des mangas ( avec Kenshin et Video Girl ) qui m'ont fait aimé ce style de bande dessiné.
Plein d'humour, j'ai vraiment rit aux éclats en regardant les anime. Le livre est tout aussi réussi, et complémentaire des anime !
Restons dans ce cadre :
Il existe une suite à love hina, en 3 épisodes : Love hina again ! Ces episodes ne sont pas de Ken Akamatsu, donc pas excessivement humoristiques. Toutefois, ils assouvissent à leur fin le rêve de tout fan : voir Keitaro et Naru ensemble. Ils sont plus dans le sérieux, mais je les ai vraiment adorés !
de même, les 2 oav : spring et Xmas sont géniales ! Trop marrantes, scénario béton ! Le dvd vient de sortir en France.
Enfin, le dernier, moins connu : LOVE HINA concert ! Un concert organisé et filmé en Live, par les interprètes de toutes les filles de la pension ! On y retrouve toutes les chansons de la série ! Délirant !
je note donc 5/5 love hina, en conséquent
I Love Hina!
Je ne vais pas parler du manga(trés bon) mais plutôt de l'anime qui est un peu different: il y a moins de pettites culottes, dommage ^o^.
Love Hina est une série que j'adore vraiment!
Drôle avec ce qu'il faut d'émotion, c'est le grand pied.
Composée de 24 épisodes + 2 spéciaux(Winter et Spring)+ encore 2 concerts des seiyuu excellents(avec la reine Hayashibara Megumi en guest!).
Elle sort bientôt en France sous la forme d'un coffret regroupant tous les episodes en vost.
Jetez vous dessus!!!
Kadjisan.
I love Hinaaa!!!!
Voici un bon manga "Katsurarien". Un jeune homme timide et maladroit se retrouve propulsé dans une pension de jeunes filles, toutes aussi originales que les autres.
On a alors droit à des situations assez coquaces et beaucoup de délires. L'humour est vraiment sympathique et joue beaucoup sur les situations et les différences qui peuvent opposées les protagonistes. Le dessin est très agréable, assez épuré et la diversité des personnages apporte un long souffle à la série.
Un manga très agréable à lire, où l'on s'attache facilement aux personnages.
Losers, ne perdé pas espoir!
Une approche différente des problèmes d'ados. Enfin... là, le mec à 20 ans, et n'est pas dans une situation classique. Et pour un loser de naissance, il a malgré les coups, un bol pas possible!!!
Ce n'est même pas de la pitié pour Keitaro, car, comme les pensionnaires, on finit par voir ses qualités. Et puis, on aimerais vachement être à sa place, aussi ^_^.
Kitsune, Je t'aime!!!!
rhaaaaaaaaa...LOVE HINA!!!!
Ce manga, il faut le dire avant de commencer, est écrit pour un public adolescent( c'est important pour certains qui croient en le lisant que ce sera un truc bourrin à la "Ken le survivant"...)
Ce manga est plutot sympa, avec une histoire plutot originale, fo le dire...
C'est un piti japonais qui veut rentrer dans la meilleure université du Japon, seul hic ( plutot énorme...) ce mec est nul comme un pied en cours!!!! :-(
Il hérite alors d'un pensionnat de jeunes filles que lui lègue sa grand-mère, qui a eue l'idée intelligente de partir en voyage autour du monde...
Le problème, c k'en plus d'être nul en cours, ce mec est gaffeur, irresponsable, pervers, enfin bref tout pour plaire, quoi...
et donc les filles de la pension vont cordialement le détester, jusqu'à ce qu'une d'entre elles, naru narusegawa tombe amoureuse de lui etc, etc...
Ce qui est intéressant dans ce manga, c'est ce cher anti-héros, qu'on voit faire gaffe sur gaffe en essayant de rattraper les choses ensuite et en tombant encore plus bas...
Bon, ya des moments où on regarde uniquement pour se rincer l'oeil, mais c'est compensé par la beauté graphique de ce manga, que je conseille quand même, car son humour ( souvent très mal placé...) vous fera très vite oublier toute la tristesse et la monotonie qui est en vous...
Bon, mon perso préféré, c kan même la kendôka, qui arrive à faire des allumettes avec une planche...
mais lisez-le, je doute que vous le regrettiez...
26 octobre 2004
par
Erwan
Une comédie classique mais efficace
Il y a deux Love Hina, le manga et l'anime.
Je ne parlerai pas de l'anime car bien que je
l'ai lu entièrement en anime-comics, je ne l'ai
jamais vu à proprement parler. A première vue,
en tout cas, il m'a déçu graphiquement parlant.
Pour ce qui est du manga, le graphisme est
vraiment très agréable, bien plus que "Ai ga
tomaranai", le précédent titre de l'auteur.
Le situation sont classiques mais cocasses.
Bref, on a déjà tout vu. Mais ce qui fait la
véritable force de ce manga, ce sont les
personnages. Le (anti-)héros n'est pas un
personnage à proprement parler. Il ne sert qu'à
mettre en valeur les autres. L'auteur n'hésite
d'ailleurs pas à le faire sortir de son rôle
habituel pour rendre la situation plus drôle.
L'autre personnage que s'approprie l'auteur,
c'est Narusegawa. Mais uniquement dans certains
chapitres. Il faut dire que c'est le personnage
le moins intéressant (à mon sens) du casting.
Peut-être parce que c'est le rôle-type de
l'héroïne moderne en manga.
Maintenant, nous passons aux choses sérieuses :
Mitsune, Shinobu, Suu, Motoko, Mutsumi, elles
font toutes partie du tableau formidable qu'est
Hinata-sou. Je n'irai pas jusqu'à dire que la
pension est le véritable héros de cette
histoire, mais c'est tentant. Pour reprendre une
comparaison avec "Maison Ikoku", les autres
pensionnaires dans l'oeuvre de Rumiko Takahashi
sont une toile de fond sur laquelle se déroule
une histoire d'amour. Ici, les relations entre
les personnages forment le noeud de l'histoire
et non un fond. Et pas seulement les relations
avec le héros Keitaro mais aussi entre eux.
On pourrait regretter que le tableau des
relations ne soit pas complet et peut-être un
peu trop stable, alors que les personnages, eux,
évoluent.
Pour finir, ce que je regrette dans Love Hina et
ce qui ne lui a pas donné la note maximale, c'est
que Narusegawa soit le premier rôle féminin. Si
le manga avait été centré sur la relation de
Keitaro avec Mutsumi ou Suu (personnagesz TRES
originaux s'il en est), je lui aurais sans doute
voué un véritable culte.
Un grand merci à Ken Akamatsu pour avoir créer
ces personnages quand même.
sympathique comedie, mais un air de deja vu un peu trop présent
Le début de l'histoire est tout mignon, et nous met vite dans le bain, mais justement, le bain vient peut être trop vite, et finit vite par être répétitif, ce qui est l'un des principaux défauts de ce manga sympa.
Les personnages, très stéréotypés, restent sympathique, et presque attachants, mais après la bombe I"s, difficile d'accrocher jusqu'au bout à ce love hina sympa mais bien trop classique.
Les gags ont également beaucoup trop l'air de déjà vus, et l'histoire est trop farfelue pour qu'on se sente réellement impliqués.
Bref, un manga sympa (je sais, je me répète) mais pas à lire en priorité.