Le film aurait pu être une réussite, notamment grâce aux bonnes scènes d'action, sii seulement celles ci avaient été filmées dans le style des années 90, c'est à dire cadré moins serré et monté de manière moins épileptique. En rajoutant de la synthèse ridicule, une Shu Qi toujours aussi belle et toujours aussi mauvaise et tête à claque, des rôle bien caricaturaux, bref cela reste un divertissement regardable une fois mais ça ne vaut pas Ip Man.
Donnie, Donnie, Donnie, DoÔnie...
Jolie petite bande d'exploitation de 60M$, à grand coups de pognon et de surenchère, et surtout de script toujours écrit sur un coin de table en plein tournage, Andrew 'Ultimate Vampire' Lau nous sort un Remix de Fist of fury / Green hornet, avec une narration à la Batman dernier du nom, violent et Over the top, certes, mais assez brinquebalant au final... Mais peu importe, car Donnie est beau, et en plus il sauve la France !
The returnn of chen Zhen!!!
L’idée de faire une suite plutôt qu’un énième remake était une bonne idée. Par contre mixer plusieurs films en un l’est moins. Après une introduction , vraiment abusé du caféà mon goût. Le film n’est pas sauvé non plus par sont scénario assez limité. On va dire que le salut du film passe, des scénes de combats potable. Qui lui redonne un peut d'intérêt.
3 films en 1...
Andrew Law avait de quoi faire une bonne trilogie mais a preferer mixer le tout en un seul film, ce aui donne un resultat brouillon et decevant.
L histoire en elle meme n est pas mal ( jai apprecier les references et evocations du film de bruce lee, meme si j aurai voulu voir ce film commencer par un donnie yen retombant sur le sol toucher de plusieurs balles) mais c bacler par moment.
Anthony Wong et Shwn Yue me servent a rien. Shu Qi s en sort un peu mieux face a un donnie moyen, imitant bruce ds la derniere scene de baston sans trop y croire...
Ha, la baston, parlons en de la baston= le final est nul, expedier. Un clicher ambulant... Le fight contre les japonais est reconnaissons le jouissif mais la choregraphie est peu inspiree, de plus donnie ne se sert que tres mal du ninchaku...
Pourtant, il y a ds ce film de bonnes choses= une tres bonne scene d ouverture et un fight excellent ds une bibliotheque...
Film decevamt.
A voir pour les scènes d'actions globalement efficaces mais qui basculent malheureusement involontairement dans le comique, notamment la séquence d'ouverture où Donnie gagne la 1ere guerre mondiale à lui tout seul. Les décors et costumes sont très beaux mais ne nous empêchent pas de nous ennuyer...un film très moyen au final...
Echec Total ! 
Une idée de base sympa (faire une suite crédible au très fameux Fist of Fury/La fureur de vaincre avait tout pour plaire sur le papier), beaucoup de moyens, une belle photo (ce qui semble devenu la norme dans les productions HK) et un casting plutôt imposant... et pourtant il faut se rendre à l'évidence : rien ne fonctionne dans ce piètre retour de Chen Zhen.
L'introduction du film annonce d'emblée le ton : on est en France, en 1917... ah bon ? Rarement une reconstitution de la première guerre mondial n'a été aussi peu crédible, voire carrément débile : scène de de combats urbains (heu 1917, ce n'est pas la guerre des tranchées???), des allemands qui portent des casques de la WW2, des soldats français à peine visibles qui portent des casques...anglais (sacrilège!!)...bref vous l'aurez compris, la reconstitution est complètement à côté de la plaque et notre réalisateur a réussi l'exploit de confondre la WW1 avec la WW2 !! Comment ensuite prendre ce film au sérieux ?
On ne saura donc pas étonné que la suite soit à l'avenant : ratage total à base de mélange de genre. Chose coutumier dans le ciné Hk mais qui ne marche pas toujours. Ici on a donc droit à une première qui mixe drama pseudo historique à suspense et...film de super héros en hommage au Frelon Vert... on se demande bien ce que vient faire le Frelon Vert ici, même si on comprend que le but est de rendre hommage à Bruce Lee. Ces scènes n'apportent rien car les rares combats de notre Donnie Yen/Frelon Vert sont expédiés à vitesse grand V... Tout cela tourne en rond, et ennuyeux de surcroît, bien que par certains aspects la reconstitution du Shanghai des années 20 est sympa. Evidemment les quelques gweilos qui apparaissent dans le film sont caricaturaux à souhait et les japonais très très méchants. Reste donc le final qui se veut un hommage à Bruce Lee mais qui se transforme de fait en remake sans imagination du film de Lo Wei. C'est donc sans surprise qu'Andrew Lau nous refait le coup de la scène du dojo... en réussissant l'exploit improbable de la rendre bien moins intense et crédible que l'originale de Lo Wei... la faute à des cadrages assez foireux et à une surenchère de mauvais aloi, des plans mal insérés : la scène du nunchaku est un ratage monumental dénué de toute crédibilité.
Quant on sait qu'en plus le film contient à peine plus de 5 minutes de véritables combats, on mesure encore plus l'étendue de ce foirage. Dommage pour le toujours sympathique Donnie Yen, dont le personnage de Chen Zhen lui tient particulièrement à cœur. Bien la peine de ce gausser du Fist Of Fury de Lo Wei, ce Retour de Chen Zhen est très loin de lui arrivé à la cheville et l'on peut parier qu'il sera très vite oublié.
