Troisième partie des aventures sordides des criminels et autres flics dont le sort se joue au travers de l'exécutif de la Chine et de Hong Kong. Cette fois, c'est Andy Lau, jeune condamné à mort en Chine, qui fuit vers Hong Kong pour échapper à son triste sort. Au cours de son voyage, il fait la rencontre d'Elizabeth Lee dont il tombe éperdument amoureux. A Hong Kong il est amené à vivre une année de tous les dangers, en étant forcé à travailler pour Kirk Wong et son gang. Comme si cela ne suffisait pas, Elvis Tsui, ici en militaire chinois, se met à ses trousses dans un Hong Kong qui accepte de coopérer secrètement avec les rouges.
Ce troisième volet se montre nettement plus maintream que ses prédécesseurs en réutilisant les formules à succès de l'époque. A savoir, des bonnes têtes d'affiche et de l'action stylisée à la John Woo. En réunissant le duo de City Kids, Andy Lau et Max Mok, le film s'engage dans une veine quelque peu inspirée par les films de triades et se montre beaucoup plus ancré dans ce genre que les opus précédents.
Les scènes d'action se montrent elles aussi sous influence. Beaucoup de Tsui Hark là dedans. Des cadrages sous LSD, des mouvements rapides et serrés; Michael Mak expérimente en reprenant les grands standards de l'époque. Le film se montre en revanche beaucoup plus influencé par l'action kung fu que par les gunfights, ce qui contraste avec les précédents épisodes. Les chorégraphies de Tony Leung Siu Hung sont brutales et parfaitement orchestrées pour enchainer avec fluidité gunfights et castagne.
Moins documentaire que les précédants, le film ne manque cependant pas d'égratigner la figure toute puissante de l'autorité anglaise. De la même manière, le récit reflète la peur des communistes et de son armée au travers d'un Elvis Tsui qui enquête dans Hong Kong avec des manières pour le moins expéditives. En se montrant malgré tout plus romancé et gentille, la saga garde son cachet engagé.
Long Arm of the Law 3 poursuit donc la saga initiée par Johnny Mak, en l'adoucissant encore un peu. On regrettera en revanche un léger manque de rythme qui peut avoir raison du spectateur. A tort, puisque c'est sur la fin que le film donne tout ce qu'il a, avec une scène d'action sans concessions qui ne laisse que peu de répit.
Plus raisonnable que les précédents
Comparativement aux deux premiers, celui-ci souffre du rétricissement de l'histoire au profit du couple Andy Lau/Elisabeth Lee. Exit la fraternité entre copains (Andy n'a droit ici qu'à un faire-valoir), ce qui rend le film beaucoup plus monocorde. Certes l'action est au rendez-vous, mais le manque de variété psychologique dans les personnages ne permet pas de s'intéresser aux personnages, si ce n'est celui d'Elvis Tsui toujours aussi investi dans son interprétation. Un troisième volet tout à fait recommendable mais légerment inférieur aux précédents.
Toutes les qualités et les défauts de l'époque
Si le petit nouveau en cinéma HK sera probablement un peu perdu devant cette fausse suite, le fan aguerri ne le sera pas pour un cents d'euro.
Long Arm of the Law 3, c'est du HK typique de l'époque, du scénario sans aucun intérêt et souvent assez crétin (le pauvre Andy Lau se fait enlever sa copine, forcer à faire un hold-up pour la récupérer, ré-enlever, re-hold up, etc.. etc...), de l'action survoltée assez étourdissante même si un peu trop speedé justement, des moyens techniques entre le médiocre (la musique d'ascenceur) et sympathique (une réalisation plus soigné que la moyenne (voir les passages silencieux), des acteurs incapables de jouer correctement un drame mais à fond dans l'excès (un Kirk Wong complètement allumé) comme dans l'action (Andy Lau doublé par moment mais souvent très à l'aise dans la castagne).
Bref, on peut trouver ça très cheap et longuet, sans être de mauvaise foi. La romance prend une belle place dans le film sans qu'on n'y croit vraiment, même si c'est fait une nouvelle fois sans aucune arrière pensée. D'un autre côté, on peut prendre le film au second degré et profiter des scènes d'action qui déblaient tout sur leur passage. Le fait que la plupart soient jouées à probablement 110 ou 115% de leur vitesse réelle comme dans certains films de kung-fu donne une grosse patate à l'ensemble, mais s'approche du comique involontaire à d'autres. Les fans d'action y trouveront évidemment de quoi se satisfaire, les gunfights sont véritablement furieux (notamment le dernier) mais les autres regretteront sûrement un peu que le scénario n'ait pas été un peu plus écrit. Il y avait matière à jouer plus sur la relation entre le personnage d'Andy Lau et celui d'Elvis Tsui, de même qu'à développer plus le rapport à la date clé de 1997. En l'état, la télécommande à la main, on zappe jusqu'à la prochaine scène d'action pour en prendre plein les mirettes. En se prenant à rêver à un cross-over des scènes d'action du ciné HK années 85-95 avec la technique et la petite écriture supplémentaire des films des années 2000. En l'état, gros film d'exploit du phénomène gunfight aux scènes d'action explosives mais pénalisé par des longueurs et un scénario très plat.
3e volet de la saga Long Arm Of The Law, et opus le plus " mainstream", avec en tête d'affiche la star Andy Lau, le film reste dans la thématique sociale avec les chinois se réfugiant à HK et n'y trouvant que la violence. Plus violent (d'excellentes scènes d'action et des gunfights époustouflants, dont un gros final de 10 bonnes minutes) mais aussi un peu plus léger dans le ton, l'oeuvre met son temps à démarrer et installe ses personnages ( même si l'histoire d'amour entre Andy et Elizabeth fait vraiment fleur bleue). A noter aussi une bonne perf d'Elvis Tsui en membre de l'armée chinoise déterminé à capturer Andy.
La présence du toujours sympathique Max Mok apporte une dose de fraîcheur au casting, même si au final son rôle ne sert pas à grand chose.
Un gros film de triades, urbain, bourrin et violent.
L'histoire on la connaît : des chinois fuient leur pays pour trouver richesse à Hong Kong (même si ici, c'est sensiblement différent puisque le film est centré sur un seul chinois, Andy Lau, et qu'il n'est pas directement attiré par le crime). Au bout de 20 minutes de métrage on a directement droit à un superbe combat à la machette ainsi qu'à une mémorable baston dans des ruelles étroites éclairées aux néons, le tout rythmée par une musique synthétique tout à fait correcte: ambiance urbaine comme je les aimes (c'est vrai que cette scène rappelle un peu
Oldboy avant l'heure!), ce n'est que le début du film et ce n'est même pas le meilleur. Pour voir mieux il faudra cependant attendre les 30 dernières minutes (sur 1h50, le film est un peu long même si je ne me suis pas du tout ennuyé) qui sont complètement dingues où s'enchaînent braquages, course poursuite et grosse fusillades (les plans sont un peu coupés rapidement cela dit, mais c'est largement compensé par la générosité de l'ensemble). En plus, à la vue du braquage (un fourgon blindé), il est très probable que Michael Mann s'en soit inspiré pour son
Heat. En effet, les protagonistes du film foncent à toute allure sur le fourgon à l'aide d'un camion planté dans le même décors (sous un pont type échangueur autoroutier !) comme dans l'introduction du film de Mann! La ressemblance entre les deux polars lors de cette scène est vraiment flagrante.
Le film est aussi bourré de défauts néanmoins, mais c'est peu gênant : il ne faut pas s'attendre à beaucoup de finesse ni à un scénario très complexe, mais qui tient très bien la route. La relation entre Andy Lau et Elizabeth Lee, même si naïve (on a droit à une scène ridicule lorsque, alors en voitures, les deux se croisent dans le sens inverse de la circulation), est plutôt belle et (j'ai trouvé) fonctionne bien. On passe également les invraisemblances habituelles. Ce n'est pas du Ringo Lam, mais on apprécie globalement une tonalité noire et violente. Le personnage joué par Kirk Wong est à ce titre un vrai salaud. Pas de complaisance pour la triades ici et c'est tant mieux.
Un troisième volet supérieur au deuxième opus, sans ateindre la classe du premier volet ceci dit . Pour les amateurs d'ambiances urbaines, cette trilogie est incontournable dans le cinéma HK des années 1980.
30 septembre 2009
par
Hotsu
Delire bis pour film fun
N'ayant pas encore vu les autres films de la saga, il m'est difficile d'établir une comparaison. toutefois, étant donné tout ce que j'ai pu lire à ce sujet, on sent le titre d'exploitation, qui reprend un filon qui marche en le remaniant totalement. Et dire que c'est le réalisateur du second opus qui nous pond ce pur film d'action!
On est loin, très loin du polar désespéré, du brulôt que semblent être les précédents épisodes. Reprenant une trame semblable, avec un héros immigré à Hong Kong, le film enchaîne les scènes d'action à un rythme plus qu'appréciable. sans réel temps mort, le film reste moins trépidant que "the last blood", mais ses affrontements sont tout aussi spectaculaires.
Bizarrement, il s'agit d'un des rares films dans lesquels Andy ne double pas sa voix, et ça a quelque chose de perturbant. Il assure son rôle avec conviction, et malgré l'emploi de doublures, on voit qu'il s'est réellement investi physiquement. Elvis Tsui n'est pas en reste dans le rôle d'un flic obstiné, pour ne pas dire obsessionnel. Elisabeth Lee et Max Mok assurent leur part, mais ont moins l'occasion de montrer ce dont ils sont capables.
Les personnages manquent de profondeur, ce qui ne permet pas de prestation magistrale. En fait, tout est prétexte aux poursuites, combats et fusillades qui parsèment généreusement le film. Le montage est complètement hystérique durant ces phases, employant à outrance les accélérés, pour un effet parfois un peu bis. Tony Leung Hsiu-hung nous gratifie de chorégraphies ultra-bourrine, très sympathique, même si inégales. Le combat dans la maison close à coups de machette reste le morceau de bravoure du point de vue combat. Le final dans la bâtisse est grandiose, les balles pleuvent et le tout reste très lisible malgré le chaos ambiant.
"Long arm of the law 3" souffre donc de quelques défauts, comme sa musique stridente, mais reste une excellente série B, qui régalera les amateurs qui le regarderont comme tel.
Un bras plus court que les autres
Le premier de la série avait su s'imposer comme une référence du genre; le second avait commencé à s'inspirer des courants de son époque. Ce troisième est malheureusement largement en-déça du talent de ses deux prédécesseurs et compile nombre d'autres oeuvres de la même époque. Exit également les sous-entendus sociaux et un certain style documentaire renforcé par des comédiens peu connus; enter une surenchère de scènes d'actions toujours plus spectaculaires (bien que le morceau de bravoure de la fusillade dans le bidonville n'est pas égalé) et pléthore d'acteurs connus. "Long Arm of the Law 3" se regarde donc comme un efficace film de divertissement, mais ayant perdu tout ce qui faisait la quintessence de cette série à l'origine.
Sympathique, mais franchement décevant par rapport à la série.
ce troisième volet est très réussi, assez peu d'action mais très bien réalisée.
à la première vision j'avais trouvé le film plus intense, à revoir une troisième fois donc pour me faire un avis définitif, mais il reste un de mes films préférés dans ce genre, aux cotés des Rock'n'roll Cop, City Cop 2, .....
3ème volet d'une des series de films d'action les plus populaires du cinéma de Hong-Kong, LAOTL 3 a les qualités et certains défauts des oeuvres de son époque.
Aussi, comme souvent dans ce genre de production, le script est quantité négligeable: rien de particulièrement excitant ni original dans cette enième histoire d'immigrés de Chine Populaire contraints de s'associer au milieu du Crime hong-kongais pour esperer une vie meilleure.
Le film restera mémorable pour la qualité de ses scènes d'action. Même si elles ne sont pas particulièrement nombreuses, elles sont suffisamment violentes et spectaculaires pour satisfaire un public avide de ce genre de spectacle. A noter que la scène tournée sur le port d'Aberdeen est particulièrement réussie.
Le film aurait pu être un maitre-étalon du genre s'il avait été un peu plus court: si les 107 minutes du métrage se suivent agréablement, le rythme est tout de même en dents de scie.
Néanmoins, ne boudons pas notre plaisir face à ce jouissif spectacle.
Ca va @!#$ en 1997 !
Troisième volet de la sage des frères Mak, qui a en commun avec les volets précédents la thématique centrale (des immigrés illégaux en provenance de République Populaire de Chine entraînés dans une spirale de violence) et une scène d'action finale très violente et spectaculaire.
Andy Lau incarne donc un brave Chinois du "Continent" qui, suite à un fâcheux concours de circonstances, est condamné à mort. Il parvient à s'évader et se rend à Hong-Kong en compagnie d'autres clandestins. Durant le trajet, il tombe amoureux d'une jeune fille qui, dès leur arrivée dans la colonie britannique, est vendue à un maquereau. Pour pouvoir la secourir, notre fugitif est obligé de se joindre à un groupe de gangsters qui, en échange de sa participation à des braquages, lui promettent de l'aider à retrouver sa dulcinée. Pour compliquer les choses, un super flic de Chine Pop' est envoyé à Hong Kong pour arrêter notre héros.
Long Arm of The Law III est typique de la production de l'époque en matière de polars, avec ses défauts (c'est parfois assez longuet) et ses qualités (quand ça pète, ça pète ! ).
En ce qui concerne le casting, Andy Lau remplit correctement son contrat et donne de sa personne dans les scènes de baston à mains nues (il nous gratifie même d'un combat à 1 contre 30 pré Old Boy), mais ce sont surtout Kirk Wong et Elvis Tsui qui sortent du lot. Le premier dans un rôle de truand hystérique qui semble avoir rayé le mot "retenue" de son vocabulaire : le réalisateur de Crime Story en fait des tonnes ! Le second dans le rôle du flic inflexible (le long bras de la loi chinoise, c'est lui ! ) à la poursuite d'Andy Lau. Il débarque à Hong-Kong avec son Desert Eagle (qui comme chacun le sait est l'arme de service des flics chinois...) et une photo de lui avec Deng Xiao Ping ! Le message est clair : que vous soyez flic ou gangster, vous avez intérêt à coopérer ou je m'occuperai de vous en 1997 ! Sa prise de bec avec un "superintendent" gweilo de la Royal Hong Kong Police est assez savoureuse.
Bien évidemment, qui dit polar réalisé à HK en 89 dit "scènes qui pètent", et effectivement, quand tout les monde sort les fusils à pompe, flingues et pistolets-mitrailleurs, il ne fait pas bon être convoyeur de fonds ... Le long final nous offre donc quasiment coup sur coup deux scènes d'action bien violentes : un braquage à la Heat et une fusillade dans un appartement exigu (à HK, c'est un pléonasme) dans la grande tradition du heroic-bloodshed et qui joue très habilement sur la géographie des lieux (comme les scènes finales des épisodes précédents).
Au final, Long Arm of The Law III n'est pas un chef d'oeuvre, mais un petit classique méconnu du polar made in HK que tous les amateurs de pétoires fumantes et de douilles chaudes jonchant le parquet devraient apprécier ! Allez tous en choeur : ah la la c'était le bon vieux temps !
La série vire au bullet ballet bourrin avec un immense Elviiiiiiiiiiiiiiiis !!!!!!!!!
Le premier Long Arm Of The Law de la série avait en quelque sorte révolutionner le polar hongkongais. La réalisation de Johnny Mak était séche et sans concession, il filmait des poursuites dans des rues étroites avec la caméra à l'épaule, comme un reporter de guerre.
La série virait à l'heroic-bloodshed avec le second volet.
Avec ce troisième volet, on est dans la continuité du second volet et l'on cherche franchement à surffer sur la vague du succès de ce dernier.
On prend les mêmes et on recommence en quelque sorte. Alex Man disparait au profit d'un Andy Lau au profil peut-être plus rentable, il est accompagné à la distribution par Elizabeth Lee et par le "bombardier humain" Elvis Tsui, ce dernier étant déjà présent dans le second volet.
L'histoire propose de suivre les aventures d'un exil forcé, celui d'Andy Lau, un jeune homme injustement condamné à mort en Chine pour avoir accueilli chez lui un groupe d'opposant au régime. Il réussit à s'échapper grâce à l'aide de son père et vient se réfugier à Hong Kong. Un féroce policier chinois interprété par Elvis Tsui se met à le traquer jusque dans la colonie.
Nous sommes en 1989, et l'on commence déjà à parler de la rétrocession. La crainte du grand voisin commence à donner du grain à moudre aux réalisateurs hongkongais.
Le flic chinois grandement interprété par un Elvis Tsui en pleine forme est montré comme un être impitoyable. Il met toute sa droiture dans sa recherche effrénée et s'emploie à y mettre tous les moyens.
Andy Lau s'en sort plutôt bien dans ce rôle d'homme traqué qui connaît l'amour en la personne d'Elizabeth Lee, une prostituée travaillant pour un souteneur interprété par le réalisateur Kirk Wong qui n'a pas son pareil pour interpréter des rôles d'ordure.
On retrouve également Max Mok et Robin Shou à la distribution.
Michael Mak s'emploie à faire virer la série au sérial barré, purement jouissif.
Le film démarre sur les chapeaux de roue, avant de connaître un creux puis de totalement viré au décanillage de première classe.
Ca flingue, ça se bat, ça explose et tout ça dans la joie !
On laisse de côté le côté réaliste du premier LAOFTL, pour virer au bullet ballet bien violent avec d'excellents gunfights et un rythme effréné qui évite l'ennui.
La réalisation est parfois un peu bâclée, mais ne souffre aucunement de ses artifices putassiers qui jalonnent le cinéma hongkongais actuel.
En bref c'est du bis traîté au premier degré avec une image pourrave, une musique à deux balles, mais un rythme fou, des acteurs qui y croit et un réalisateur qui dédie son oeuvre à l'éclate totale.
Ah la belle époque !
Tout pareil que la critique de Sébastien .
edit : pour chronofixer, si ce film n'a pas sucité plus de reactions, c'est qu'il etait introuvable !
Le plus commercial de la série est aussi celui qui nous offre les meilleurs gunfights !
Elvis Tsui, personnage récurant de la série, endosse cette fois-ci le rôle d’un flic de Chine continentale aux méthodes expéditives, rappelant à chaque hong-kongais peu coopératif qu’il s’occupera d’eux après 97 ! Il est aux trousses d’Andy qui a fait ses valises pour Hong-kong dans le but de fuir la peine capitale. Voyage facilité grâce à l’intervention d’une jeune fille (Elisabeth Lee) dont il tombe forcément amoureux. Mais voilà, elle est la propriété de mafiosos qui veulent la rentabiliser. Andy, avec l’aide de son nouvel ami (Max Mok) va tenter de la délivrer des mailles de la prostitution.
Casting de dingue qui s'en met plein la figure:
-dans le camp d’Andy : Max Mok Siu-chung, Elisabeth Lee
-dans l'autre camp divisé en deux : Kirk Wong (déchaîné) & Robin Show représentant les bandits et Elvis Tsui répondant au stéréotype du flic chinois.
Dénouement :
-le final le plus long et hystérique de la série.
UN MUST !