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Laputa, le château dans le ciel
les avis de Cinemasie
16 critiques: 4.19/5
vos avis
62 critiques: 4.13/5
Les ailes du paradis.
C'est une évidence, le studio Ghibli est ce qui se fait de mieux en terme d'animation depuis des années. Le château dans le ciel, premier film du studio est une petite merveille comme on n'en fait plus, du moins, hors studio Ghibli. De telles oeuvres, de tels poèmes écolo se font de plus en plus rares, la mode étant à présent principalement axée sur l'auto-dérision et l'auto-critique de notre monde, agrémenté de touches d'humour, de rap et de blagues foireuses. Messieurs Disney et Dreamworks, la sortie est au fond à droite. Le château dans le ciel nous narre les mésaventures d'une fillette répondant au très joli nom de Sheeta, proie de l'armée et de pirates car celle-ci possède sur elle une pierre de lévitation lui permettant de voler, et indiquant au-delà des cieux, le chemin qui mène à Laputa, vaste château aérien (quelle idée de géni!) abritant des trésors inestimables. En essayant désespérement de quiter le Zepelin technologique dans lequel elle voyagait, elle tombe par les plus grands des hasard dans un petit village, recueillit par Pazu, petit débrouillard et minier à ses heures. La petite ne le sait pas encore, mais l'armée et les pirates de l'air veulent à tout prix sa pierre magique. Le film se divise en plusieurs parties franchement distinctes. La pourchasse, le voyage vers le château puis les assauts à l'intérieur. Grande course-poursuite à travers les chemins de fer, dans les airs, sur terre puis sous-terre, le rythme s'affole jusqu'à l'épuisement total. Les pirates, emmenés par une mère hallucinante (surnomée Tantine) font tout en leur possible pour récupérer le diamant, quitte à défier tous les dangers. Scènes hallucinantes sur les chemins de fer où l'hystérie prend littéralement le dessus, bagarre entre homme sur la place de marché (non sans rappeler plus tard celle de Porco Rosso) où les mandales s'enfilent comme des perles. On hurle de rire, on verse une larme.
Cette larme est bien sûr belle et bien là tant l'univers, l'onirisme et la tendresse proposés sont ici déroutants. La relation d'amitié/amour entre Pazu et Sheeta est adorable, les émotions nous submergent jusqu'à que l'on se rende compte que les pirates ne sont finalement pas si méchants, même au fond carrément gentils. Tantine est franchement magique en vieille femme Capitaine péteuse de plomb à tire la rigo mais au grand coeur. Ils s'uniront finalement pour aller à Laputa et ramener le plus de trésor possible, pour en laisser le moins à l'armée. D'ailleurs, l'armée présentée fait quasiment penser à celle de 39-45. Totalitaire, dictatoriale, violente et sans concessions (Sheeta en prendra pour son grade), puis usant et abusant des canons destructeurs de Laputa, non sans rappeler les désastres de la bombe nucléaire d'Iroshima et Nagasaki par les américains. Au-delà de la violence parfois hallucinante du film (avec Mononoké, sûrement l'animé le plus violent de Miyazaki), se cache une poésie écologique fascinante. Le château est gardé par des robots protecteurs des lieux et de la nature. Un des robots ira même jusqu'à offrir une fleur à l'adorable Sheeta afin qu'elle la dépose sur la tombe d'un robot défunt. C'est sûr, Miyazaki sait y faire question magie et poésie, surtout quand le trait de crayon va avec ! Certes, le poids des ans se ressent (ses dessins s'améliorant avec le temps), mais la qualité du chara-design, la beauté des pastels et la richesse des détails font que l'on en prend plein les mirettes. Que dire aussi de la formidable partition de Joe Hisaishi?
Bourré d'humour, d'action et de tendresse (quoi de mieux comme cocktail) Laputa est un dessin animé extraordinaire, annonçant ses futures chefs d'oeuvre, fondamentalement dans la même lignée, où la nature reste l'élément central.
Esthétique : 4.25/5 - Maîtrise remarquable de l'animation, beauté intrinsèque des décors. Musique : 4.75/5 - Instru' parfois vieillote, mais que de thèmes extraordinaires. Interprétation : -/5 Scénario : 4.75/5 - Personnages fantastiques et intrigue superbement rythmée.
Un très bon anime, mais pas le meilleur Ghibli
Plus je vois de films des studios Ghibli, moins je pense qu'il est possible d'être déçu par l'un d'eux. A l'image des autres films du studio, Laputa est une réussite.
Réussite sur un plan technique tout d'abord. L'animation est parfaite, la musique excellente et admirablement dans le ton du dessin animé (décidément, Joe Hisaichi est pour moi LE compositeur de musiques de films), le dessin est très bon, surtout compte tenu de l'époque.
Réussite sur le plan de l'intrigue ensuite. Même si celle-ci ne vaut pas, à mes yeux tout du moins, celle de Princesse Mononoké ou de Nausicaä de la vallée du vent, l'histoire est des plus attrayantes.
Un Ghibli classique, où l'on retrouvera le thème de la nature et des avions, deux sujets chers à Miyazaki Hayao, de l'amitié et de l'amour pur, et de nombreux personnages proches des autres œuvres du maître (La voiture des pirates très proche de celle de Sherlock Holmes, tout comme la masse des soldats rappelle celle des hommes de Scotland Yard dans cette même série, en fait bon nombre de dessins et de personnages semblent proche de ceux de cette série mythique).
Un très bon anime donc, qui ne vous transportera pourtant pas autant que Mon voisin Totoro ou Princesse Mononoké.
Un grand film d'aventures écolo.
Cette petite merveille d’anime nous replonge dans notre enfance lointaine, à l’époque des Ile au Trésor, Sherlock Holmes et consorts. Ce n’est pas un hasard si je cite ces 2 exemples, car dans Laputa, le scénario s’appuie sur l’Aventure avec un grand A et l’Enquête policière avec un grand E, soit 2 moteurs aussi excitants que fédérateurs. Les 2 héros, Sheeta et Pazu, qui sont comme par hasard des enfants de 10 ans (Tom Sawyer et Le Tombeau des Lucioles ne sont pas loin), vont être confrontés à toutes les difficultés du monde pour réussir à découvrir le Château de Laputa, qui selon la légende flotterait dans les airs et dominerait le monde depuis des lustres.
Ainsi, après une première partie très drôle et très enthousiasmante qui peut se résumer à une course-poursuite terrestre entre pirates (pas si méchants), armée (pas si gentille) et gosses qui possèdent une pierre de lévitation, on décolle assez vite du sol pour rester dans les airs jusqu’à la fin. De là-haut, Miyazaki nous délivre un formidable message écolo et antimilitariste derrière une mise en scène riche et entraînante : le Château de Laputa se révèle être une métaphore de l’humanité : au sommet, la nature régit le lieu, un lieu paisible où les robots sont programmés pour veiller sur des nids d’oiseaux… Un vision naïve mais ô combien ravissante. Au contraire, le sous-sol est en proie à toutes les perversions humaines de guerre et d’anéantissement, où l’on retrouve des robots guerriers et une force de frappe nucléaires à l’origine de la destruction de Sodome, et peut-être aussi à l’origine de l’horreur d’Hiroshima et de Nagasaki…
Heureusement, grâce au courage des 2 enfants (rappelons que la vérité sort toujours de leurs bouches), ce sous-sol cauchemardesque sera détruit et la partie haute de Laputa, c’est-à-dire la nature, reprendra ces droits. Et alors, on n’a pas le droit de rêver un peu ?
Le premier film et le premier succés du studio Ghibli
Laputa, le château dans le ciel est le premier film réalisé par Miyazaki Hayao dans le cadre du Studio Ghibli. Pour un coup d'essai, c'est un coup de " maîtres ", vu le staff technique : Miyazaki Hayao comme réalisateur, Joe Hisaishi comme compositeur, Takahata Isao comme producteur et Kondô Yushifumi comme animateur. Ce sont les 4 personnes à l'origine du succès du studio Ghibli.
Pour ce film, Miyazaki a frappé très fort, inaugurant de la meilleure façon le studio. Les dessins des personnages et des décors sont magnifiques et n'ont rien perdu depuis 1986. La musique est comme d'habitude en totale adéquation avec les images grâce à une très bonne mise en scène. Elle est des plus captivante, les scènes contemplatives ou effrénées s'enchaînent sans temps mort, servies par un scénario qui reprend les deux grandes passions du réalisateur : l'aviation et la nature par l'intermédiaire de Laputa, qui est construite autour d'un arbre géant. Nous retrouvons aussi ses autres marques de fabrique : l'amitié entre les personnages, des personnages secondaires hauts en couleurs comme le sont les pirates. D'autres influences plus européennes sont aussi présentes : Jules Verne ou Jonathan Swift, l'auteur des Voyages de Gulliver.
La seule exception réside dans le personnage de Muska : il est le seul héros de Miyazaki, qui soit foncièrement méchant et cruel et dont la conduite n'est dictée que par sa cupidité, sans aucun lien avec un code d'honneur. Ceci est suffisamment rare de sa part pour le signaler.
Ce film, comme tous les autres films du studio Ghibli, est une pure merveille, qui mérite plus qu'un simple détour : il est à revoir tout simplement
Encore un excellent film du studio Ghibli, drôle et rythmé
Laputa possède toutes les qualités d'un Ghibli : animation sans faille (surtout pour un film aussi vieux !!!), humour très présent, histoire mignonne à croquer, personnages multiples et très différents, excellente musique. On ne change pas une recette qui gagne. On retrouve la touche écologique souvent présente, la passion pour les machines volantes, et bien sûr des points communs avec d'autres films du studio : personnages quasi identiques, style de dessin.
Quand la nature reprend ses droits.
Laputa offre un vrai moment de détente avec tous les bons ingrédients. Au départ, on a les beaux dessins et une intrigue plutôt guillerette, malgré le fait que Sheeta soit poursuivit. Les premières scènes, surtout avec les trains, sont plutôt drôles. Par la suite on tombe un peu dans le mystère de la cité perdue et sur la fin on s'oriente vers le psychologique et les dilemnes des décisions importantes. En fait, on se retrouve presque sur un scénario d'Indiana Jones, à ceci prêt que les personnages principaux sont des enfants.
Quant à la qualité du dessin, elle est très bonne, même si les production ultérieures de Ghibli lui sont encore supérieure (mais c'est normal...). Et la musique... c'est un enchantement.
Au delà des nuages...
Une histoire sublime et empreinte de poésie, ou l'imagination sans limite de Miyazaki crée un monde magique qu'on quitte avec regret.
Au delà des nuages, c'est du rêve et de l'émotion qui se cache
Magique
une pure merveille, aventure, mystère...Une bouffée d'aire fraiche . On en redemande, vivement la sortie DVD .
L'idéal du roman d'aventure et bien plus encore...
Pour enfants de tous ages.
Chef d'oeuvre à regarder avec ses yeux d'enfant.
Mon anime préférée (je ne suis pas un spécialiste).
C'est poétique, magnifique, génial: un émerveillement constant.
Une scène prodigieuse parmi d'autres: lorsqu'ils attérissent sur la planète et voient l'arbre.
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Je laisse ce dessin animé aux enfants...
J'ai été déçu par ce japanimé dont on m'avait tant dit de bonnes choses. Au final j'ai vu un scénario "Secret of Mana" avec des images belles certes mais qui ne m'ont pas suffi à vraiment aprécier le film. C'est un film pour gamins selon moi, rien de plus. Je ne vois vraiment pas pourquoi l'on s'extasie autant devant ce film.
Au passage, les voix sont insupportables dans les films de Miyazaki.
Pas mal mais un peu enfantin
Je dirai que ce film est plus pour les enfants, mais c'est vraiment du bon boulot, c'était il y a 20 ans et c'était déjà extraordinaire.
L'ultime film d'aventures
un émerveillement quasi permanent, un récit a la structure et aux résonances (passage de l'enfance au monde adulte, exploration incessante, traduite par les bouleversements diégétiques) complexes font de ce film a la réalisation exemplaire, jusqu'a la dernière partie un peu trop lourde de symbolisme et où se dissipe la rythmique parfaite du récit l'archétype même du film d'aventures. Peut etre le vrai dernier a l'heure où le cynisme et le mépris d'une vision naîve gangrènent le cinéma.
mon premier Miyazaki et premier coup de foudre
Avec Le Château dans le ciel, Miyazaki imagine une de ces histoires dont il a le secret, aventures palpitantes, émotions, et message socio/écologique dénonçant les abus technologiques et industriels, qui ont depuis longtemps défiguré le Japon
Superbe
Encore un chef d'oeuvre des fameux studio et du fameux réalisateur. Première association et première claque. Excellent animé.
Buster Keaton animé
Il est une série TV dans laquelle le héro saute, bondit, s'aggrippe à des parois vertigineuses, court en équilibre entre deux précipices, s'accroche à l'aile d'un avion par les orteils, semble touhjours en équilibre précaire au bort du gouffre ou l'attend la mort :
Buster Keaton? Son Goku?, non, un croisement des deux : Conan.
Laputa est une remaniement en long mètrage de Conan, Fils du Futur.
On y retrouve :
- un Conan/Pazu téméraire (aah,l'amour), intelligent et acrobate professionnel quand le besoin s'en fait sentir.
-une Lana/Sheeta, douce, mais courageuse et résolue, et capable de se sacrifier pour son prochain (et par extension, celui qu'elle aime).
-un Capitaine bourru au grand coeur / une chef pirate bourrue au grand coeur, qui sert tout à la fois d'élément comique, d'adulte protecteur et de sage qui a longtemps bourlingué.
-un Lepka/Muska, un méchant, un vrai, un coriace.
Le problème avec les méchants de Miyazaki, c'est que contrairement à bien des méchants façon Disney, ce sont des personnages intelligents et, de ce fait, redoutables.
Dans le cas de Conan, Lepka envoie ses sbires capturer Lana, afin qu'elle lui révelle le secret de l'énergie solaire, qui permettra de réveiller les armes endormies d'Industria.
Dans le cas de Laputa, Muska et ses sbires capturent Sheeta, car elle est détentrice du joyau capable de réveller la position de Laputa, puis de réveiller sa terrifiante puissance. (les Cités d'or ne sont pas loin non plus).
Le film, comme la série, est une suite haletante de courses poursuites, de combats aériens, de ruses, de trahisons, de coups d'états et coups d'éclats.
Ajoutez à celà une des meilleure musique jamais composées par Hisaishi, les nombreux passages contemplatifs (ô temps, suspends ton vol!) propres à Miyazaki et bien plus nombreux que dans un Mononoke ou un Porco Rosso (notemment, le passage des enfants qui discutent dans la galerie souterraine, leurs ombres géantes projetées sur le mur, et le moment magique du Chant des Pierres, dans cette même galerie), et un humour "sherlockholsmique" permanent, qui doit beaucoup aux grands acteurs comiques du Muet des années vingt (la poursuite voiture/train sur les rails suspendus, est un grand moment).
L'animation est particulièrement fluide, et se hisse - déjà-au niveau d'un Totoro.
Les couleurs ont été étudiées pour coller le plus possible aux années de la Revolution Industrielle, ici fantasmées sous forme de SF-rétro. Ainsi prédominent les marrons, gris, et autres beiges ternes , peux répandus dans les dessins animés des années 80. Tant dans les vêtements que dans les décors de la cité minière et du Fort. Ces couleurs contrastent fortement avec celles, roses et bariolées, des habits des pirates, qui sont décidément hors des lois!
Puis, la course-poursuite au trésor s'élève au dessus des nuages.
Arrivent alors les couleurs du ciel, ce bleu immense, le Grand Bleu, parsemé de nuages immaculés, comme autant de vastes prairies de l'éther. Et le vent! Le vent omniprésent, qui n'est jamais dérangé dans son souffle par la musique de Joe Hisaishi : lorsque chantent les grands vents du ciel, la musique se tait, pour nous laisser SENTIR l'air tout autour de nous. Sur notre peau, dans nos cheveux...
Aucun autre film de Miyazaki, et aucun autre film tout court, ne vous donnera cette impression que l'air FRAICHIT autour de votre fauteuil, et qu'une bourasque soudaine pourrait emporter à tout moment, 5000 mètres plus bas, votre douillet canapé.
C'est là je crois, la grande force de Laputa.
En bref (mais j'en ai déjà beaucoup dit), ce film est une merveille.
Pour finir, bien que j'aie comparé Laputa à Conan, et bien que l'on puisse souvent interchanger les personnages de la plupart des oeuvres de Miyazaki, il y a toujours un renouveau dans ses films, et tous sont profondéments différents.
Aussi, il vous suffira d'imaginer que miyazaki aime faire jouer les mêmes personnages dans des contextes différents, comme le ferait un réalisateur avec des acteurs réels.
Et, après tout, qui le lui reprochera?
Deux dernières petites infos amusantes pour finir :
1- les engins volants des pirates, aux ailes diaphanes, sont directement inspirés des ornithoptères de Dune. En effet, après que lui fut refusé l'adaptation de Dune en animation (les droits, ça coûte cher), Miyazaki transforma son idée première en ce qu'on connait aujourd'hui sous le nom de Nausicaa. Dans la première mouture, Nausicaa devait voler sur un ornithoptère, qui a exactement l'apparence des engins de Laputa (comme l'attestent les croquis de l'"Art of Nausicaa")!
2- Mr Lasseter, dans une interview pour la sortie de Toy Story, avouait s'ètre repassé en boucle les scènes de poursuites acrobatiques de Laputa, pour en décortiquer la mise en scène, et analyser le formidable dynamisme qui en découle.
Celà donna la poursuite finale de Toy Story. Et il faut avouer que l'élève a bien retenu la leçon...
Pour ceux qui n'ont jamais vu Laputa, imaginez la poursuite finale de Toy Story, durant deux heures, entrecoupée de moments d'éternité.
Voilà, vous y êtes presque.
Le 1er long métrage des Studio Ghibli... et déjà une magnifique réalisation
Hayao Miyazaki (Cagliostro, Totoro, Porco Rosso, Mononoke & Chihiro) réalise ici sont premier film pour le studio Ghibli qu'il crée avec son camarade Isao Takahato (Tombeau des Lucioles / Yamadas).
Noté que ce film d'animation date de 1986 et deja quelles prouesses techniques, le tout accompagné d'une magnifique histoire, pleine d'aventure, d'imagination et de tendresse dont seul Miyazaki en a le secret.
Pour les fans, Gaumont Buena Vista a prevu de sortir en salle Nausicaa et Kiki et ressortir Porco Rosso... La vague Miyazaki débarque....
MIGNON ET VRAIMENT BEAU VISUELLEMENT
Petit bijoux de l'animation japonaise. Encore et toujours. Quand on à aimé Chihiro et princesse Mononoké, on ne peut pas être déçu. A voir!
magnifiquee!!
que dire? c'est du Miyazaki, et donc du bonheur a l'etat pure! apres Le Voyage de Chihiro, Mon Voisin Totoro, Princesse Mononoke, Nausikaa j'ai eu la joie de decouvrir cette Merveille (avec un grand "M") qui s'intitule Laputa!
l'histoire est magnifique: a la fois drole, périlleuse et emouvante! les personnages sont touchant comme d'habitude! que demander de plus! ^^
Les studios Ghibli n'ont rien a envier aux studios americains! vive le japon et vive Miyazaki!! ^^
C'est beau, c'est magnifique, c'est Miyazaki.
Inutile de décrire l'histoire, car les thèmes des films de Miyasaki sont tous quasiment identiques. C'est à dire un voyage initiatique sous fond de fable écologique. On à déjà vu ça plein de fois, pourtant, on se laisse transporter dans les différents univers que nous propose ce duo magique (Miyazaki/Ghibli). Car magique est bien le mot. Tous ces films dégage de la magie (Le Chateau Dans Le Ciel n'échappe pas à la règle) . Ce petit truc qui va chercher au plus profond de nous même, pour réveiller l'enfant innocent qui se cache en chacun de nous. Car même en étant adulte, on ne peut résister à cette déclaration d'amour de Miyazaki pour la nature et on souhaite de tout coeur que son voeu se réalise. C'est à dire, de voir un jour l'homme vivre en harmonie avec la nature. Mais j'ai malheuresement l'impression que ce jour s'éloigne de plus en plus.
Le duo Ghibli/Miyazaki nous émerveille encore et toujours
Du grand Miyazaki/Ghibli
Un superbe film d'aventure avec de l'action, du rire, de l'émotion, des sentiments, des moments grave, et toujours ce fond écologique de Miyazaki, le tout dans l'art des Studios Ghibli ! Bref, une joie à voir !
Ashitaka