Il ne faut pas se leurrer, ce film, d'un point de vue qualitatif est très mauvais. Que ce soit en terme de réalisation, des acteurs (tous mauvais comme des cochons) ou des fx (cheap comme c'est pas permis et qui fleurent bons l'amateurisme) tout est joyeusement raté avec une constante qui frôle le génie.
Mais en grand amateur, de péloches déviantes, je l'aime bien ce Killer Pussy, tant le réalisateur se montre génereux en Bimbos en petites culottes, en scénes violentes avec grosses giclées de sang qui tachent, et des scénes déviantes et craspec plutôt sympathiques.
En clair, le mélange érotique et gore fonctionne plutôt bien, et si l'on fait abstraction du coté bricolé et mal foutu de l'ensemble, on passe un moment plutot un agréable moment devant ce petit Z.
14 septembre 2013
par
steed
killer pussy cat ! fast ! fast !
On va pas y aller par trente-six chemins, ce genre de film ne s'adresse pas à tout le monde, seulement aux cinéphiles pervers amateurs de bizarreries. Les autres passeront leur chemin (et n'auront peut-être jamais idée que ce genre de film existe, dommage pour eux).
Quand aux amis du bon boût, ils trouveront dans
Killer pussy des jeunes filles qui se mettent en culotte pour un rien, des acteurs vraiment mauvais - qui parfois se marrent en disant leur réplique, sans que le réal ne juge bon de faire une nouvelle prise - et des effets spéciaux vraiment déments - que ce soit les effets numériques (d'un cheap absolu) ou physiques (qui réjouiront les amateurs de bébètes qui ressemblent à rien), tout en se gardant d'émettre une opinion quand à l'immonde mélange des deux que se permet
Nakano. Sans oublier que le trip final à la Lara Croft (à défaut d'être une brute en combat rapproché, la gonzesse à au moins des seins taille XXL) qui est bien délire, et quelques plans bien sympatoches, dont certains en vue subjective de l'intérieur d'un vagin ! (la classe)
Pour le reste, comme souvent les scènes de fesses ne sont pas assez rigolotes (sauf une, à base de lesbiennes couvertes de sang), mais les scènes gores donnent au spectateur pour son argent : énucléation, castration, arrachage de téton, tripaille en veux-tu en voilà ! Alors les fans vous le diront : ça a beau être le degré zéro du cinéma, c'est quand même vachement fun !
22 juillet 2007
par
Epikt