Panne d'imagination
Contrairement à un premier volet efficace, la suite a très mal vieilli. La faute à son scénario basique d’homme aux pouvoirs destructeurs, vu et re-revu 36000 fois. Ceci explique sans doute cela: il n'y a pas eu d’OAV n°3. On ne s’en plaindra pas, Yoshiaki Kawajiri a bien fait d’en rester là pour nous fabriquer mieux ailleurs.
Superbe 
Idem que le 1er opus . Cependant, si dans la première partie Goku obtenait ses fabuleuses "armes", il domage que le scénario ne distille pas des informations sur l'organisation à l'origine de ces armes . Peut-être dans les deux derniers chapitres ? Vivement la suite .
Pas si mal
Une suite logique à ce qui sera pourtant malheuresement le dernier épisode, malgré un ou deux problème de rythme et un scénario qui n'est sûrement pas le meilleur que Kawajiri ait eu entre les mains, cet opus se suit toutefois comme un lettre à la poste. Forcément, difficile de ne pas rester sur sa faim tant j'aime personnellement ces athmosphères de série B. Si on aime les films du réalisateur, il serait idiot d'ignorer ces deux OAV d'1h40 alignés.
18 septembre 2011
par
Hotsu
Une OAV plus quelconque...
Autant le premier épisode des aventures de Goku marquait par son rythme et par un scénario séduisants, ce deuxième moyen métrage n'exploite les capacités ni de son réalisateur, ni de son scénariste... Aucune véritable surprise dans cette aventure; les ingrédients du premier se retrouvent, mais la recette est cette fois-ci bien fade... Outre le sempiternel dilemne de devoir tuer un faux ennemi pour le sauver de lui-même, c'est le caractère de ce dernier (personnage surpuissant et surbodybuildé à mi-chemin entre le Raoh de Ken le survivant et Akira) qui fait du tort à cette histoire. Le rebondisssement final n'en est pas véritablement un, et ne parvient pas à sauver le scénario. Reste toutefois le plaisir de retrouver un univers assez séduisant, et de voir Goku exploiter davantage les formidables pouvoirs qu'il a acquis. Face à un ennemi à sa mesure, la solution se trouve davantage dans la connaissance que dans la force brute. Une illustration d'un précepte connu: l'information, c'est le pouvoir!...
