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For Bad Boys Only

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les avis de Cinemasie

2 critiques: 2/5

vos avis

8 critiques: 2.66/5

visiteurnote
willi 3.5
Toto456 5
Sharon 3.25
Secret Tears 3.25
QuyTam 2
LoKar 2.5
Hots@uce 3.25
gerald 3.25
Fred30 2
Bastian Meiresonne 2.25
antigone 2.75


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Trop d'invraisemblances

L'histoire est complètement tirée par les cheveux, les acteurs sont mauvais (sauf Louis Koo et Daniel Chan). Vite regardé, vite oublié.

25 mars 2004
par QuyTam


moyen

une réplique de louis est folle, une gomme c'est comme les meuf, au début c'est sucré, c'est bon mais on se tanne vite et on la crache

28 juin 2002
par LoKar


The clone and the clown

Pur produit de divertissement, "Fro bad boys only" met en scène les deux sunny boys Ekin Cheng et Louis Koo au plus fort de leur popularité dans une trame rapidement imaginée par l'opportuniste producteur Manfred Wong et emballé par le yes-man Raymond Yip.
L'intrigue principale peine à se mettre en place, suite à une succession de mini-sketches sans queue, ni tête introduisant l'agence du "Bad Boy Squad" ni vraiment drôle, ni vraiment réussie. Le réalisateur multiplie les plans poseurs sur ses deux héros et abuse d'un pauvre générique en images de synthèse, qui traverse l'écran telle le slogan d'une pub pour dentifrice toutes les trente secondes – à se demander, si l'on assiste plutôt à une bande-annonce, un épisode télé ou une bande promo pour éventuels futurs acheteurs.
Des scènes sans aucun doute nécessaires pour étoffer la durée totale du film, l'intrigue principale étant rapidement torchée…et singulièrement en retrait par rapport avec ce qui avait précédé. Alors que cette improbable histoire de clonage aux méchants cartonnesque se prêtait à une réalisation manga-esque aux nombreux plans poseurs, Raymond Yip privilégie une mise en scène bien plus intimiste et moins tape à l'œil par la suite, enlevant beaucoup du plaisir coupable, qu'on aurait voulu éprouver à la vision de ce bout de pelloche improbable.
En résulte un actioner relativement inoffensif, où même la beauté plastique de Shu Qi n'est pas exploité à son réel potentiel.


04 novembre 2008
par Bastian Meiresonne


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