Erotic Trio
Du
Sex and Zen avant l'heure en moins pathétique tout de même (et d'un érotisme un peu plus explicite aussi), portant la griffe de l'inénarrable Nam Lai-Choi par ses propensions horrifico-Z finalement plus probantes, avouons-le, que les laborieuses scènes de tripotage disseminées dans l'intrigue. À noter une très belle bande originale, mêlant non sans bonheur nappes de synthé et sons folkloriques, qui tranche violemment avec l'esprit lourdingue du film.
Sympathique 
"Erotic ghost story" est un gentil petit cat 3, parodie lointaine d' histoire de fantomes chinois. Le tout est realisé par Nam nai choi, avec comme principale attraction : Amy yip ,mais malheursement pour le fanclub de la miss, a aucun moment on ne verra ses seins... Voici bien le seul attrait qui aurait pu elever un peu plus cette gentillette histoire de 3 soeurs fantomes qui pervetissent un jeune etudiant, qu'elles vont transformer en demon lubrique; elle seront aidé par le gentil fatsi dans un final typique de nam nai choi, c.a.d ,le monstre de service (type serie z puissance 1000) explosions a gogo, special fx a 2 balles et pour l'occasion un peu de wire fu. les scenes erotiques sont sympatiques ,et on retrouve avec plaisir le gout immodéré de nam nai choi pour le bis, avec la fameuse scene des renards peluches ou encore du demon à 3 tetes... Un film certes ennuyeux par moment, mais qui sent bon le debut des nineties à HK...
Histoires de fantômes grivois
Trois nymphettes plutôt poumonnés, tombent sous le charme d'un étudiant, elles goûteront tour à tour les attributs avantageux de cet étalon jusqu'à ce qu'il se tranforme en monstre sanguinaire !!!
Que dire de ce film ? Qu'il est réalisé par le Ed Wood chinois, que cette fois c'est l'érotisme qui prédomine, certes les actrices possèdent certains charmes indéniables, mais l'intérêt premier de ce genre de film est de filmer le mieux possible les ébats... et ben c'est raté, car Lam Nai Choi n'est pas réputé pour être un esthète à la Just Jaeckin, il filme ses scènes comme un pied, malgré tous ces défauts, le film possède un charme lointain et le final redonne à laam son âme de faiseur "inimitable", sa destroy touch reprend du service avec ses effets très spéciaux caractérisant le style du réalisateur de Story Of Ricky et du mythique The Cat. En bref, un film disons... pas essentiel.
