Une comédie sympathique et rafraîchissante :-)
Une sympathique comédie qui part tambour battant avec le jeune Jackie Chan dans Drunken Master. Augustin regarde émerveillé cet artiste, et en profite pour améliorer sa technique martiale tout en enregistrant la bande son. Car Augustin étudie le kung-fu depuis longtemps. Discrètement, sans compétition, sans fréquenter de club, il est un spécialiste, et bientôt l'Asie lui tendra les bras. Augustin le sait : finit les rôles de figurant, il est un artiste martial performant, et il sera acteur dans les films de kung-fu, comme ceux qu'il va voir au cinéma. Le doux rêveur lache tout, se rapproche des racines de son art, et découvre l'amour. On croise au passage Bernard Campan en professeur de français et de chinois, tentant de rendre dans un roman l'intérêt qu'il porte à la Chine. On reverra aussi avec bonheur Darry Cowl dans un rôle assez ambiguë (alors, il en est ?), et ça fait bien plaisir. Au final, un bon vent d'air frais. Et d'abord, on a tous un petit Augustin en nous...
Une comédie fraîche et un peu naive, qui fait du bien
Tout le film est porté par le personnage d'Augustin, le franco-portugais fan de films chinois, qui décide de migrer à Chinatown-Paris, soit à quelques coups de pédales de chez lui, avant de faire le grand voyage... A mi-chemin entre Pee Wee et Forrest Gump, il est tour à tour énervant et attachant. Les autres personnages qui gravitent autour de lui sont intéressants et bien écrits: Campan, Cowl et surtout la jolie acuponctrice Maggie Cheung.
Sans prétentions, mais suffisamment décalé pour être plaisant.
Une comédie, qui nous change de l'ordinaire
Augustin représente une part de nous, celle qui veut tout balancer pour aller à la conquête
de son rêve le plus fou. Dans son cas, c'est devenir le nouveau Bruce Lee. Pour y parvenir,
il quitte son logement et part pour le quartier chinois pour se rapprocher des racines du
kung-fu. Là, il va rencontrer de nouveaux amis, notamment un directeur d'un magasin de
bibelots, interprété par un Darry Cowl au mieux de sa forme qui se fait rare sur nos écrans
et un écrivain passionné par la Chine sous les traits de Bernard Campan. Il va découvrir
l'amour en la personne de la jolie Maggie Cheung, qui est
irrésistible avec son petit accent.
Cette comédie bien sympathique nous permet de passer un bon moment en compagnie
d'excellents acteurs.
Original, drôle et parfois touchant: une curiosité très bienvenue
En quelques mots, c'est léger, c'est frais, c'est assez original, et il y a une scène de Drunken Master en introduction, ainsi que Maggie Cheung qui parle un joli français avec son joli accent. La question qui se pose est donc: ce film peut-il être mauvais ? Et bien non, l'humour est assez léger, l'histoire est traitée avec sensibilité, et les acteurs sont excellents. De plus, le scénario évite les ressorts trop convenus. En bref, un bon moment, qui plus est un des seuls mélanges culture française / culture chinoise qu'il m'ait été donné de voir.
Le 13ème sous un nouveau jour!!
Augustin Dos Santos est un acteur de kung fu de "très haut niveau", pour perfectionner son art il s'expatrie aux sources du kung fu : le 13ème à paris.
C'est le choc des cultures: d'un côté des acteurs français tels que bernard campan et Daryl Cow; opposé à l'asie représenté par Maggie Cheung et le Chinatown parisien.
Le jeu des acteurs est excellent en particulier Jean-Chrétien Sibertin-Blanc (augustin), son personnage est réellement attachant.Maggie Cheung quant à elle est charmante surtout avec son accent lorsqu'elle parle français.
Néanmoins, ce film n'est pas une comédie où l'on rit beaucoup; on y sourrit souvent grâce au jeu de Jean-Chrétien Sibertin-Blanc.
C'est avec plaisir que l'on découvre le Chinatown de paris.
Certains détails clichés ont été rajoutés comme les pratiquant du Tai chi et les prostituée devant les hotels.
En conlusion ce film tend plus vers le Drame que vers la comédie pure.Découvrez l'exotisme du 13ème à travers ce joli film! Maggie Cheung sera votre guide!
VPC
Une comedie sympathique et original
A voir pour la decouverte du quartier chinois dans le 13 eme a Paris et surtout pour la prestation de "Maggie Cheung"
Belle audace, rares sont les films français à s'intérésser à autre chose que leurs problemes franco-français.
Dans la même journée,je regarde green snake et augustin.Maggie rayonne dans ces 2 films,et je me suis interrogé tout le long,mais que fait elle dans le 13è arrondissement avec un français impeccable?
Augustin reste un film très français,un personnage lunaire entouré d'un excellent casting,de dialogues réussis,un film atypique dans le cinéma français.
mais c'est charmant !
Un film naïf, bien entendu il ne faut pas s'attendre à des combats spectaculaires , n'éxagérons pas, je rappelle qu'il s'agit d'un film français au départ ! Il a l'avantage et l'honneur de faire découvrir -la Chine? heu, non....Chinatown ! ainsi que le monde auquel il se rattache. Un petit voyage France/Chine bien sympathique et tous les acteurs sont bons...en prime on fait un tour du 13è sans bouger.C'est rafraîchissant, Maggie Cheung est vraiment trop bien là-dedans, et puis son petit accent ! Si le film avait été un flop elle aurait à elle seule relevé le niveau... mais ce n'est pas un navet alors c'est encore mieux.
Quelques scènes clins d'oeil (Drunken Master), un humour à la cantonaise ( lorsque l'apparition dit à Augustin de se rapprocher des racines du kung fu), notre Maggie....C'est plaisant en résumé! pas besoin d'en faire des tonnes pour se révéler sympathique, j'ai passé un bon moment et puis, c'est vrai : qui ne s'est jamais senti un peu Augustin ???
Augustin roi de l'ennui
Ce film n'est ni émouvant, touchant, drôle ou quoi que ce soit, il est juste ennuyeux. Certains seconds rôles comme Bernard Campan ou Darry Cowl sont pas trop mauvais encore, mais par contre l'acteur qui joue le rôle d'Augustin est d'une médiocrité absolue et comme on ne voit que lui durant le 95% du film, cela a fait que j'ai eu beaucoup de peine à regarder ce film jusqu'au bout. A eviter.
Mignon !
Cette petite comédie nous permet de visiter le quartier chinois de paris .... LE passage vraiment marrant du film : quand le héros s'entraine aux arts martiaux chez lui....
le forrest gump du kung-fu
Film naïf et sympathique, Augustin roi du kung-fu est une oeuvre plutot originale dans son ambiance, en effet le 13ème arrondissement comme cadre est très interessant mais un peu sous-exploité, le personnage simplet d'Augustin fait sourire et Maggie Cheung est resplendissante (comme à son habitude).
Une oeuvre parfois lyrique, mélancolique, un tantinet lente mais toujours sincère.
Euh...Oui, si on n'a pas peur de s'ennuyer
Ce film n'est pas nul, non, mais, il y a un très gros mais: le rythme est trop lent, l'histoire pas très passionnante. Seules Maggie Cheung et la musique permettent de ne pas regretteer d'être venu pour voir que ca.
Une petite comédie sentimentale
Rien d'extraordinaire mais on passe tout de même un moment sympathique. En prime on peut voir des extraits de Drunken Master et la belle Maggie Cheung.
Le fabuleux destin d'Augustin
Laissez vous juste emporter par ce petit film sans prétention. On y passe un moment agréable en compagnie d'acteurs vraiment attendrissant; Maggie Cheung est irrésistible, Jean-Chrétien SIBERTIN-BLANC dans le rôle d'Augustin est touchant et Darry COWL nous prouve qu'il savait joué juste. Le ton du film reste naïf et c'est justement ce qui fait son charme. Il faut juste laisse parler le petit Augustin qui est en nous en se laissant bercer par l'originalité du sujet, sous les coups de pieds d'un Jackie Chan bien seventies qui nous met à l'aise dés le début du film.
Augustin roi des somnifères
Vu après Tanguy, il s'avère que les deux films présentent de nombreuses similitudes, mais pas du point de vue de la qualité.
Alors que Tanguy s'avérait drôle et bien tourné (malgré un essouflement sur la fin), Augustin ne décolle jamais, malgré la présence de très bons acteurs.
La faute à un script raté, plat, où tout n'est qu'effleuré, et à un héros acharismatique au possible. Les situations et dialogues sont sans saveur, sans aucune originalité, à aucun moment on ne s'attache à ce personnage plus pitoyable que pathétique, plus risible que drôle.
La molesse de l'acteur et le manque de consistance (mais aussi les clichés éculés) y sont pour beaucoup, mais la réalisation anecdotique ne fait rien pour sauver les meubles. Ne parlons pas de la musique inexistante, des "références" cinématographiques faciles et qui n'apportent pas grand chose.
Le rythme est par contre soutenu dans l'ennui, puisqu'on s'ennuie du début à la fin.
Que reste-t-il donc pour justifier le visionnage de ce film? Pour ma part rien ne justifie de voir ça. Mais on prend toujours plaisir à voir Maggie Cheung, Darry Cowl et Bernard Campan.
Soyons indulgents, une demi scène à demi émouvante conclut le film.... mais o nreste sur une mauvaise impression, et le sentiment d'avoir perdu 1h30 de sa vie (et en plus on la récupérera jamais cette heure et demie!)
Augustin...pas très bien !
Comédie sympathique au départ, une des seules qualités du film ne sera finalement que de nous montrer furtivement la dévanture de "Musica" (si je continue à citer ce magasin, on va croire, qu'ils me sponsorisent...).
Rythme trop lent, compsoition d'un personnage principal trop forcé à vouloir séduire à tout prix (et que je te prends une petite dose de Tati, de M. Bean et de François Pinon) et scènes pas si drôlatiques que cela, le film reste - à l'instar de ses personnages - trop enfermé dans le carcan de son petit monde. On éspère, l'espace d'une replique de Maggie Cheung, qu'Augustin va faire re-visiter le tout-Paris à sa manière. On ne s'évadera finalement pas plus loin que d'un pâté de maison.
On éspère des croquis de personnages "typés" de la communauté typique; on aura droit qu'à un sourire béat d'un gros homme d'affaires, lorsqu'il apprend qu'Augustin travaillera pour rien pour lui.
Même les séances de kung-fu d'Augustin sont tournées platement, les situations comiques s'y comptant sur le doigt d'une main et un potentiel certain ne sera jamais abordé.
Je comprends, que les mises en situations - et la mise en scène - minimalistes sont caractéristiques du petit monde clos d'Augustin, mais le personnage seul est loin de pouvoir supporter un film entier sur ses frêles épaules...C'est là, qu'on se rend compte, qu'"Amélie Poulain", c'était quand même un sacré tour de force (même si je n'ai que moyennement accroché avec le film en général).