Ce film est vraiment la série B HK telle qu'on l'imagine:
un héros, un méchant, du sang, des coups de feu, quelques combats et un tout petit scénario.
Pour ce qui est de la préstation de Donnie Yen on ne peut rien lui reprocher sauf le combat final moins inventif que les autres, il donne quand même suffisament soif pour que l'on s'interresse au parcours de l'acteur.
un film à évité
Histoire minimaliste et mal amené on a l’impression de voir une série b de mauvais goût…… c’est exactement le cas. Le combat final est certes nerveux mais se résume à encaissé des coups…..
Pas terrible
Un pur navet
OK, Donnie n'avait pas de moyens (cf son site officiel qui explique tout ca) mais bon ca reste aussi nul qu'un Van damme.
Dirty Donnie
Qu’est-ce qu’on garde ? Rien (peut-être les combats, quoique). Passons. J’aurai du continuer mon dépoussiérage.
Donnie Yen boit la tasse et en redemande!
Qui dit film Phlippins dit film à très petit budget. Mais est ce que cela signifie mauvais divertissement? Et bien pas tout à fait. Bien sûr les scènes d'action sont courtes, et bien souvent décevantes (de ce point de vue, "hunted hunter "est bien plus réussi), mais le rythme est toujours très élevé, et l'énergie dégagée appréciable.
Alors bien sûr, c'est bourré de clichés, la plupart des acteurs jouent très mal, les scénarios bateaux et remplis de scènes ridicules, mais c'est tout ce qui fait un bon nanar, et l'envie de divertir le public à tout prix est palpable de bout en bout! Chaque centime a été mis à contribution, ça se ressent.
D'ailleurs on ne s'ennuie vraiment pas, ça saute, ça tire, ça se tape dans tous les sens, et même si ça n'est pas toujours bien fait, c'est très dynamique (à l'image de la musique). Le dvd étant à 3 euros, n'importe quel fan de Donnie aura quand même envie de le voir distribuer quelques coups de pieds et jouer les durs.
Vive Donnie!
Aïe voltage
Sale, nul, 2...
Scénario minable; acteurs minables, Donnie qui s'emmerde.
Les combats ? Seulement 4, vite expédiés et pas exaltants (on n'hésite pas à nous servir plusieurs fois le même plan, histoire de nous faire croire que Donnie s'est défonçé sur les choré).
Le final est nullisime, Donnie et son adversaire passant leur temps à encaisser les mandales chacun leur tour (c'est pas interdit de bloquer les coups, les gars).
L'unique intérêt du film reste l'avant-dernière baston, où Donnie fracasse un dingo armé d'une machette, qui séduit par sa relative inventivité (tesson de bouteille, ceinture, barre de fer)
Un demi-point pour ce combat, et c'est bien payé.
Court-jus ne fait pas d'étincelles
Le 20 janvier 1995, Asian Cop" sort sur les écrans hongkongais face à…"Rumble in the Bronx". Tous deux produits avaient été pensés pour un marché international, mais seul l'un d'entre eux va effectivement conquérir le monde…et ce n'était assurément pas le véhicule pour Donnie Yen.
Coproduction avec les Philippines, toute l'action se passe à Manille avec le gros du casting composé d'acteurs locaux, dont la vedette philippine Edu Manzano. Apparemment le tournage n'a pas été de tout repos, Yen ayant dû reprendre les rênes d'une fin de tournage chaotique, sans plus aucun budget (Andrew Kam avait dépensé le gros du budget sans n'avoir mis grand chose en boite; "Asian Cops" allait d'ailleurs être son dernier film en tant que réalisateur, pour ensuite continuer en tant que producteur...aïe...aïe...), avec les moyens du bord et une équipe technique mal formée et fâchée avec leurs collègues HK. Le résultat à l'écran s'en ressent forcément et "Asian Cops" rappelle finalement davantage l'une des nombreuses productions fauchées à avoir été produites à la chaîne au plus fort du cinéma HK, plutôt qu'un autre véhicule à star pour Yen.
Face au pro de l'action martiale, un Roy Cheung égal à lui-même (quoique sacrément bouffi!!), qui sort son habituel jeu de "motherfucker-attitude", mais ne fait pas le poids contre l'artiste martial qu'est Yen, notamment lors d'un final tout sauf inspiré. Yen, qui n'est une nouvelle fois que très peu mis en valeur, les quelques scènes d'action se résumant à des échanges de coups de feu ou à des combats aux poings mollassons.
Un film, qui serait passé totalement inaperçu, s'il n'y avait eu Donnie Yen et Roy Cheung à l'affiche.